Le roman érotique Filles à Soldats nous plonge en pleine guerre civile où nous suivons les ébats lesbiens d’une jeune femme amnésique…
125 pages, collection Les Interdits aux éditions MEDIA 1000.
Résumé de Filles à Soldats de Roseline Parny
Je faisais la guerre… en petite culotte ! Une jeune femme amnésique est prise dans une guerre civile, on ne sait trop où. Une guerre civile où on n’arrête pas de baiser. On sait bien que le guerrier a besoin de repos. Et l’avantage des guerres civiles, c’est que c’est plein de femmes ! A la fureur des hommes répondent les » fureurs utérines « … Quant à notre amnésique… ne plus savoir comment on s’appelle n’a jamais empêché une femme d’écarter les cuisses. Et Miléna, la copine de l’amnésique, est encore plus enragée. D’ailleurs, les deux amies, dès que les combats se calment et que ça manque d’hommes, s’amusent entre elles. Elles discutent aussi, entre deux étreintes dans la paille quand l’une demande à l’autre si elle est clitoridienne ou vaginale, la réponse ne fait pas un pli : » Les deux, mon capitaine ! » Ah, si toutes les guerres étaient comme nos deux jeunes excitées : en dentelles… roses.
Extraits de Filles à Soldats de Roseline Parny
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Une porte a claqué. Il y avait de l’agitation. Des bruits. Je ne comprenais rien. Je n’avais jamais vu cet endroit. J’ignorais
ce que j’y faisais et ce qui m’arrivait. J’étais étendue à poil sur une alèse en plastique. On m’avait attachée sur un lit.
Il m’a fallu quelques secondes pour identifier l’odeur qui régnait. Une odeur d’hôpital. Doucereuse, presque sucrée. Pourtant, la chambre ne ressemblait pas à celle d’un hôpital. On aurait plutôt dit un coin de garage, un entrepôt ou un vieux bureau délabré. J’étais dans le coaltar, je me suis endormie sans en avoir conscience.
Quand je me suis réveillée, j’étais toujours attachée et la nuit était tombée. Je ne distinguais presque rien. Tout à coup, j’ai entendu
la voix assourdie d’un homme et le rire d’une femme. La voix féminine a dit :
– Non, Kostas, pas maintenant !
Une lampe s’est allumée dans le bâtiment. Elle n’éclairait pas la pièce, mais filtrait par les interstices. Puis
une lumière crue m’a inondée et j’ai poussé un cri.
– Hé bien, ma petite ! Ça veut dire quoi ? Déjà qu’on vous a ramassée, vous allez pas nous faire une crise…
Ils étaient deux. Kostas et Miléna. Avec des blouses blanches. Ils voulaient savoir mon nom, ce que je faisais dans cette zone et pourquoi je
me trouvais au centre des combats. Je n’en savais rien et j’étais même incapable de leur dire comment je m’appelais. Ça ne les a pas surpris.
– C’est fréquent après un bombardement, a dit l’homme.Essayez de dormir encore… on reviendra…
Un gémissement féminin m’a de nouveau tirée du sommeil. Après deux ou trois
secondes, j’ai reconnu sans équivoque un gémissement de plaisir.