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La série Devil’s Rock est pour le moment une trilogie. Dans le premier tome, Enchaîne-moi, nous faisons la connaissance du détenu Knox qui fond pour Briar, l’infirmière du pénitencier de Devil’s Rock. Trop abîmé par la vie et voulant protéger Briar de lui-même, Knox tente de refouler ses sentiments. Mais ce n’est pas si simple que ça…
480 pages aux éditions Milady
Résumé de Devil’s Rock tome 1 : Enchaîne-moi de Sophie Jordan
Certains hommes sont des durs, ceux de Devil’s Rock sont plus que cela…
Le danger est inscrit dans chaque muscle de Knox Callaghan et ses yeux bleus ont le pouvoir de déceler toutes les pensées les plus intimes de Briar Davis. Mais celle-ci est une infirmière qui travaille au pénitencier alors que Knox est un détenu qu’elle ne doit en aucun cas approcher.
Irrémédiablement attiré par Briar, Knox fait tout ce qui est en son pouvoir pour la protéger et lui résister. Elle est trop innocente, trop gentille, et elle n’a aucune idée de ce dont il est capable. Mais tout sacrifice a ses limites… Et goûter au fruit défendu peut s’avérer grisant.
« Chauds les coeurs et les corps ! Préparez-vous à vous laisser embarquer par tous ces prisonniers chauds comme la braise ! »
Elle Kennedy
« J’ai lu cette histoire crue, absolument sexy et tout à fait addictive d’une seule traite ! »
Kresley Cole
Extraits de Devil’s Rock tome 1 : Enchaîne-moi de Sophie Jordan
Découvrez quelques passages du tome 1 Enchaîne-moi de la saga Devil’s Rock de Sophie Jourdan :
Elle laissa tomber le regard sur les mains de son patient, qui étaient grandes, avec de longs doigts fins aux ongles rognés. Il avait les poignetssolides et recouverts de quelques poils clairsemés. Elle imagina ces mains se mouvoir sur une peau nue de manière sensuelle et cligna des yeux afin de chasser cette image perturbante. Il n’existait sans doute pas beaucoup de personnes prêtes à s’opposer à sa volonté, mais, dans le monde de la prison, il n’était pas libre de faire comme bon lui semblait. Forte de cette certitude, elle porta de nouveau les mains au tee-shirt de son patient. Elle se figea encore, cependant, et leva les yeux sur lui. Il haussa les sourcils, s’interrogeant sur la raison de ce temps d’arrêt. Briar prit son courage à deux mains, ainsi que le vêtement, qu’elle souleva alors que Knox levait les bras pour lui faciliter la tâche.
– Qu’est-ce qui vous est arrivé là ? (Elle lui lança alors un regard dur en guise d’avertissement.) Je voudrais des détails.
Il secoua la tête comme pour signifier que ce n’était rien.
– La routine.
– Coups de poing ? De pied ?
Elle appuya sur l’ecchymose. Au vu de la carrure de cet homme, elle doutait qu’un simple coup de poing puisse lui causer autant de dégâts.
– La routine, répéta-t-il.
– Savoir ce qui s’est passé exactement m’aiderait à déterminer la gravité de votre blessure. Je vous assure que ce n’est pas pour satisfaire une sorte de curiosité morbide.
Elle le regarda droit dans les yeux, les sourcils froncés, en attendant sa réponse.
– Matraque, dit-il simplement.
Seuls les surveillants avaient des matraques.