Acheter surClaude Delbouis nous emmène dans une histoire érotique où nous suivons Fabienne qui est fascinée par le bondage mais n’ose pas se lancer. Sa patronne Nelly l’aidera à assouvir ses fantasmes et lui fera découvrir d’autres jeux érotiques…
128 pages aux éditions Média 1000 / Musardine.
Résumé de Bondages de Claude Delbouis
Fabienne est une fille bizarre. Parce qu’un jour, au cours d’un jeu en colo, elle s’est retrouvée attachée dans un cagibi, elle ne rêve plus que de jouir en étant ficelée comme un saucisson. Tout cela n’est guère méchant et ne resterait d’ailleurs qu’un fantasme si, au cours d’un job d’été, elle ne faisait la connaissance de Nelly. Dans l’arrière-boutique de cette perverse patronne, Fabienne va découvrir ce qu’est le bondage, mais aussi les plaisirs brûlants de la fessée et autres jeux insolites…
De Claude Delbouis, qui s’est fait une spécialité de recueillir les témoignages féminins dans les « lieux de rencontre », vous avez lu récemment Fantasmes dorés ; vous ne serez pas déçus par ce nouveau récit qu’il nous fait des insolites habitudes d’une de ses partenaires…
Extraits de Bondages de Claude Delbouis
Découvrez quelques extraits sexy de Bondages de Claude Delbouis :
Elle fut réveillée en sursaut quand des mains l’extirpèrent sans douceur de sa cachette. Apparemment, trois autres filles connaissaient la porte du débarras. La mine hilare, elles contemplaient Fabienne qui bafouilla :
– La partie est finie ?
Leurs éclats de rire lui firent comprendre qu’elle se fourvoyait. L’une d’elles, avec un zeste de cruauté, lui mit les points sur les i.
– Pour toi, oui ! Tu es notre prisonnière.
La peur nouait le ventre de Fabienne. Celle qui venait de parler était Teresa, une grande bringue brune et sèche au visage pointu. Elle avait formé autour d’elle une petite bande à sa dévotion.
Elle était seule avec Teresa, incapable d’appeler au secours à cause du bâillon. La lueur qui brilla dans les yeux de la brune aurait donné froid dans le dos de n’importe qui. Fabienne sursauta sur le chaise, se débattit ; la main de Teresa effleura sa joue. La grande bringue se délectait de sa terreur.
– Tu fais moins la fière, hein ?