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Après 50 nuances de Grey, voici 80 notes ! Premier tome d’une longue saga écrite par deux auteurs, on fait la rencontre de la violoniste londonienne Summer qui joue dans le métro. Son violon cassé, elle reçoit un message sur lequel on lui propose de donner un concert en échange d’un violon. L’auteur de ce message est Dominik, avec qui elle nouera une relation de domination…
408 pages aux éditions Le Livre de Poche
Résumé de 80 notes de jaune de Vina Jackson
Prisonnière d’une relation en demi-teinte, Summer, violoniste passionnée, trouve refuge dans la musique. Elle passe ses après-midi à jouer Vivaldi dans le métro londonien. Un jour, son instrument est détruit et elle reçoit un message d’un admirateur secret. Dominik, séduisant professeur d’université, se propose de lui offrir un violon en échange d’un concert… très privé. Dominik et Summer se jettent alors à corps perdu dans une liaison sulfureuse aussi imprévisible qu’excitante. La jolie violoniste laisse libre cours à des pulsions interdites et s’abandonne enfin à la passion. Elle va bientôt découvrir qu’il n’y a pas de plaisir sans souffrance…
Grisante, charnelle et audacieuse, une histoire d’amour qui vous laissera le souffle court.
Découvrez vite le best-seller inspiré de Cinquante nuances de Grey.
Extraits de 80 notes de jaune de Vina Jackson
Lisez quelques textes issus de 80 notes de jaune de Vina Jackson :
La jeune femme avait toujours les yeux fermés. Elle se balançait doucement d’un pied sur l’autre, en communion avec la mélodie. Elle portait une jupe noire qui lui arrivait aux genoux et un chemisier blanc cassé, un peu victorien, qui brillait sous la lumière artificielle. Le tissu était lâche, et Dominik ne pouvait distinguer les contours de son corps. Il remarqua immédiatement la pâleur d’albâtre de son cou ainsi que l’angle délicat formé par le poignet qui tenait l’archet.
Le violon était une antiquité rapiécée à deux endroits par du ruban adhésif, dont la couleur était à l’unisson de la crinière flamboyante de sa propriétaire.
Dominik demeura immobile pendant cinq bonnes minutes. Le temps avait suspendu son envol. Il ne prêta aucune attention au flot de voyageurs pressés qui regagnaient leur foyer anonyme, fasciné par le brio avec lequel la jeune musicienne interprétait la complexe mélodie, totalement oublieuse de son environnement. Elle ne faisait pas plus cas de son public que de son étui, ouvert à ses pieds, et dont le fond était couvert de pièces, même si, tout le temps que Dominik resta à l’écouter, personne ne lui donna d’argent.
La jeune femme rousse bougea tout entière comme son poignet se pliait étrangement sur l’archet : pendant une fraction de seconde, le tissu de son chemisier se tendit et révéla les contours d’un soutien-gorge noir.
Le corps de Dominik réagit sans prévenir, et ce n’était pas à cause de la musique.