La Société tome 1 : Qui de nous deux ? d’Angela Behelle

La Société saga érotique d'Angéla Behelle

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Premier tome d’une série érotique de dix romans, La Société met en scène la jeune professeur de philosophie Mickaella Valmur. Elle aura un nouvel élève de dix-sept ans très intrigant prénommé Alexis. Un jeu s’installera entre eux et c’est Alexis qui deviendra le maître de Micky et non l’inverse…
Angela Behelle est également l’auteur d’Au bonheur de ces dames.
320 pages aux éditions J’ai Lu

Résumé de La Société tome 1 : Qui de nous deux ? d’Angela Behelle

Un élève aussi farouche que séduisant, une société secrète, un lent apprentissage mené de main de maître qui éveille son corps et comble ses désirs les plus inavouables : Mickaëlla Valmur est loin d imaginer ce que lui réserve cette étrange rentrée scolaire…

Chaque femme vit plusieurs existences à la fois : fille, amie, s ur, mère, compagne, enseignante, infirmière, amante… Qu importe qui elle est vraiment, Angela Behelle est une femme comme toutes les autres, tranquille et sage… en apparence.

Extraits de La Société tome 1 : Qui de nous deux ? d’Angela Behelle

Voici quelques passages du premier tome de la saga érotique La Société d’Angela Behelle :

Alexis choisit toujours mes tenues, mais ne semble plus y attacher d’importance. Nos tête-à-tête ne durent plus que quelques minutes avant qu’il s’échappe. J’ai donc le temps de réfléchir à de nombreuses questions et toutes me ramènent à une seule conclusion, Alexis cherche à rompre avec
moi. D’une certaine manière, je le comprends. Julia a tout pour elle, la jeunesse, la fraîcheur, une intelligence acceptable et sa famille est suffisamment riche pour fréquenter les mêmes milieux que les Duivel. Moi, j’ai dix ans de plus que lui, je suis veuve. Mon esprit s’est résigné depuis quelques jours déjà. Mon corps, lui, demande grâce des privations que je lui inflige. Mon sexe réclame la main de son maître et ce dernier ne viendra plus. Il vaut mieux me faire une raison.

Je le suis dans le couloir où tout n’est que discrétion. Il ouvre la porte et me cède le passage.
— Je préviens Monsieur Duivel de votre arrivée, m’assure-t-il en refermant.
Dans le petit salon, un plateau propose une collation ainsi qu’une bouteille de vin blanc, dans un seau à glace. J’abandonne mon sac et je gagne la chambre. Sur le lit, je trouve un fin peignoir de soie noire. Je comprends l’allusion et je l’emmène à la salle de bains. Lorsque je reviens dans le salon, Alexis verse le vin. Il ne dit rien, me regarde sans sourire et me tend mon verre. Il m’ordonne de boire et m’observe d’un air curieux. Puis il me confisque mon verre et détache la ceinture de mon peignoir avant de le faire glisser de mes épaules.