Tout ce qu’il voudra tome 1 de Sara Fawkes

Tout ce qu'il voudra tome 1 de Sara Fawkes


La saga érotique Tout ce qu’il voudra est une longue histoire que vous dévorerez d’une traite ! Dans la lignée de 50 nuances de Grey, Lucy travaille dans une société et noue une relation torride avec son PDG, Jeremiah qui a de nombreux ennemis…
64 pages aux éditions Marabout

Résumé de Tout ce qu’il voudra tome 1 de Sara Fawkes

Lucy travaille à New York, en intérim, et fantasme sur un homme avec qui elle prend l’ascenseur tous les matins. Un matin, alors qu’elle se retrouve seule avec l’inconnu, il stoppe l’ascenseur et lui fait l’amour. Le soir même, ils se retrouvent à nouveau tous les deux dans le parking, et réitèrent l’expérience. Lucy découvrira bientôt que son partenaire n’est autre que le PDG de la société pour laquelle elle travaille, Jeremiah Hamilton, qui lui offre une place d’assistante très particulière… qu’elle accepte. Elle ne se doute alors pas qu’elle sera prise dans un complot visant à assassiner l’énigmatique millionnaire qui la soumet à toutes ses exigences. Elle échappera de peu à une tentative d’empoisonnement pour finir quasi prisonnière dans une luxueuse résidence des Hamptons, dont elle ne s’échappera que pour tomber dans le piège tendu par le propre frère de Jeremiah…

Extraits de Tout ce qu’il voudra tome 1 de Sara Fawkes

Afin de voir si la plume de Sara Fawkes vous plaît, lisez quelques extraits du tome 1 de Tout ce qu’il voudra :

Je me raidis de surprise, tandis que les stridences me parvenaient à travers la brume hébétée qui m’enveloppait. Le désir céda la place à la honte, et je poussai sur mes mains pour me libérer. L’étranger s’écarta et me rendit mon espace vital avant d’appuyer de nouveau sur le bouton rouge. L’ascenseur redémarra avec un soubresaut pendant que je remettais vivement de l’ordre dans ma tenue.

Le look BCBG en costard-cravate m’avait toujours plu, et le beau brun portait chaque jour des costumes impeccablement taillés sur mesure, qui coûtaient sans doute plus cher que mon maigre salaire mensuel. Tout en lui respirait la bonne société, bien loin de mes origines – ce qui ne m’empêchait pas de fantasmer sur lui. Il habitait mes rêves, son visage était celui sur lequel se fermaient mes yeux le soir quand je me couchais. N’ayant eu entre les cuisses rien qui ne soit animé par des piles depuis plus d’un an, mes délires étaient un peu osés. Sur le moment, je m’accordai la liberté d’y repenser, et un sourire béat étira lentement mes lèvres. Vu mon degré de frustration, il ne m’en fallait pas beaucoup pour démarrer au quart de tour… une petite image mentale où j’étais plaquée contre un mur et subissais les derniers outrages… Waouh !