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Ce second tome de la décalogie érotique La Société se déroule dans le milieu de l’édition. Nous faisons la connaissance de Mina, Mademoiselle tout le monde, qui travaille pour un éditeur, Paul Peyriac. Elle entrera dans la Société, cercle secret, où elle sera initiée à la sexualité par des experts…
Vous pouvez également lire le tome 1 de la série La Société.
315 pages aux éditions J’ai Lu
Résumé de La Société tome 2 : Mission Azerty d’Angela Behelle
La Société, son réseau souterrain, ses codes, ses membres mystérieux et fortunés, que savons-nous d’elle, exactement ? En acceptant de travailler pour Paul Peyriac, un éditeur à la retraite aussi machiavélique que touchant, la jeune et séduisante Mina va nous entraîner au coeur du système. Sur le savoureux chemin qui la conduira à s’accomplir pleinement, la demoiselle bénéficiera alors d’un appui de taille.
Extraits de La Société tome 2 : Mission Azerty d’Angela Behelle
Lisez quelques textes issus du deuxième tome érotique de la saga La Société :
– Bonjour Monsieur Peyriac, je suis Mina Dalambray.
Il sourit d’un air narquois, il a noté la différence dans la présentation.
– Bonjour Mademoiselle Dalambray. Votre tante m’a vanté vos mérites, mais je constate qu’elle m’a caché que vous étiez aussi jolie que
brillante.
– Je suppose qu’elle s’est efforcée d’être aussi objective que possible pour éviter de paraître vous influencer.
Il apprécie ma réponse, un éclair malicieux allume le regard qu’il fixe toujours sur moi.
– D’où vous est venu le prénom d’Hermine ? dégaine-t-il d’un ton joueur.
– Ma mère est nostalgique d’une autre époque.
Il hoche la tête d’un air approbateur, les lèvres pincées.
– Votre prénom m’a séduit. J’ai cependant le sentiment que vous ne l’appréciez pas de la même façon.
J’ai beau faire attention, ma jupe ne pivote pas entièrement avec moi et la jarretelle de mon bas droit apparaît. Je me réajuste aussitôt. Je me sens gourde. Paul, accoudé à la portière, fait une moue approbatrice.
— Ma femme aussi connaissait ce genre d’affres. Je trouve cependant tellement séduisant d’apercevoir de la dentelle sur une jambe si belle. Vous n’avez pas à en rougir, au contraire, sachez en user. On pardonnera toujours à une belle femme une petite coquetterie, pas la vulgarité.