Le caresseur aux doigts pervers d’Italo Baccardi

Le caresseur aux doigts pervers d'Italo Baccardi

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Dans Le caresseur aux doigts pervers nous suivons Italo, homme qui aime sa femme mais aussi les autres femmes. Cette histoire vraie montre la vie sexuelle débridée de ce directeur d’institut de beauté, de sa femme Marie-Christine, de Brigitte qui a des vues sur Marie-Christine… Entre autre !
Le roman est complété d’illustrations de Karla.
336 pages aux éditions Sabrina Fournier

Résumé de Le caresseur aux doigts pervers d’Italo Baccardi

Les femmes passent, Italo demeure… Elles sont nombreuses, obéissantes, excitables sans limite. Italo est un homme d’aujourd’hui qui mène une vie trépidante. Vie professionnelle et vie sexuelle. Dans l’institut de beauté qu’il dirige sur la Côte d’Azur, en mettant toute la journée « la main à la pâte », les deux se mêlent plus qu’intimement. De plus, Italo aime sa femme Marie-Christine, et s’en occupe de près, à sa manière : perverse et dominatrice. Ce n’est pas un jaloux, il en fait profiter les autres. Bon gré mal gré, Marie-Christine se prête aux lubies de son mari, ou plutôt, prête son corps soigné d’esthéticienne. Quand il s’agit, par exemple, de négocier une parure hors de prix, dans les souks de Marrakech, en pleine nuit… ou d’épater deux couples d’Anglais blasés dans un bar chic. Et Italo de photographier, d’enregistrer, de filmer, tout le temps à l’affût… un maniaque.
Un homme d’aujourd’hui ne saurait se passer d’Internet. Italo ne s’en prive certes pas. Mais il ne se contente pas de visiter les sites « Fesses rouges » et autres, ni de recruter des soumises en recherche de dominateur, il se fait adresser par ses patientes des photos d’une crudité renversante, que l’exhibée lui commente en direct par téléphone. Italo fait part de ses exigences, et à l’autre bout du fil, la dame s’exécute devant l’objectif. Pinces bien placées, épilations secrètes, pipi in live… tout y passe.
Mais Italo n’aime pas qu’on vienne piétiner ses plates-bandes. Une avocate bon chic bon genre, maître Brigitte Bourdeuil, cherche-t-elle à détourner sa femme de lui… le voilà qui sort les grands moyens : photos des rapports SM de Brigitte avec Marie-Christine, chantage dans le cabinet de l’avocate… qui ne tarde pas à s’allonger dans la chambre d’hôtel où Italo lui a fixé rendez-vous. Notre « Caresseur » commence par essuyer la semelle de ses mocassins sur les seins de l’avocate, aussi arrogants que leur propriétaire…
Les femmes passent, Italo demeure… Elles sont nombreuses, obéissantes, excitables sans limite. Il y a Béatrice et Babette, Mélissa et Vanessa, et Justine, Martine, Marine… on en bégaie… sacré Italo !

Extraits de Le caresseur aux doigts pervers d’Italo Baccardi

Lisez un extrait chaud de Le caresseur aux doigts pervers d’Italo Baccardi :

Elle avait une façon de me regarder de haut qui ne me plaisait pas. Elle « faisait sa belle ». A un moment, elle a insinué à demi-mots qu’elle avait connu des garçons, des grands qui l’emmenaient sur leur mobylette. Le pire, c’est qu’elle avait grandi ! Elle était même un peu plus grande que moi.

Je craignais qu’elle ne réagisse plus à la formule magique, mais nous avons
repris nos jeux comme avant. Je l’entraînais dans le fenil, j’exigeais qu’elle me montre ses seins tout neufs. Elle défaisait les boutons de son corsage dont elle écartait les pans. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins ressemblaient à des demi-pamplemousses d’un blanc laiteux. La peau était presque transparente, on voyait de fines veinules sur les côtés. Ce qui m’attirait le plus, c’étaient les aréoles d’un rose bistre, surmontées de pointes qui devenaient grumeleuses au contact de l’air.

Je trouvais que c’était plus vicieux quand elle me regardait ; aussi, je la forçais à le faire. Ça la gênait, mais elle finissait par céder. Elle me regardait fixement, une lueur effrontée s’allumait dans ses prunelles. D’abord, je frôlais les seins. C’était comme si un contact électrique la traversait. Son souffle devenait rauque. Du bout des doigts, je lui caressais la poitrine, guettant dans ses yeux la montée de l’excitation. Je soupesais ses seins. C’était lourd ; ça se balançait quand je les laissais retomber. Plus je lui pelotais les nichons, plus les pointes devenaient raides. Je pinçais les deux tétons en même temps, puis je les tordais, les allongeais, jusqu’à lui arracher une plainte ou des larmes. A la fin, elle me suppliait d’arrêter : je lui faisais trop mal.

Je continuais. Ça me plaisait de la traire comme une vache, de la traiter en esclave. Mon slip s’humidifiait. Elle ne cherchait pas à se dérober. Elle subissait mes dures caresses.