La Soumise tome 2 : Le Dominant de Tara Sue Me

La Soumise, volume 2 : Le Dominant de Tara Sue Me

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Nous vous avons fait découvrir le tome 1 de La Soumise. Ici, l’histoire du premier opus érotique est reprise mais du point de vue du dominant, Nathaniel qui aura Abby sous son contrôle…
480 pages aux éditions Marabout

Résumé de La Soumise, volume 2 : Le Dominant de Tara Sue Me

La suite de la trilogie qui a captivé des millions de lecteurs. Nathaniel West ne perd jamais le contrôle. En tant que PDG de West Industries, il affirme son autorité de patron tout au long de la journée. La nuit, il exerce avec la même rigueur ses talents de dominant entre les quatre murs de sa chambre. Il n’a pas pour habitude d’avoir pour partenaire de jeunes soumises débutantes, mais avec Abigail King, il décide de déroger à la règle. Il devient vite accro au mélange de naïveté et de volonté de la jeune femme, et est est bien déterminé à s’attacher ses services exclusifs. Aussi longtemps qu’elle lui obéira au doigt et à l’oeil, il ne lui arrivera rien de mal. Mais quand le jeune milliardaire s’aperçoit que ses sentiments évoluent, il réalise qu’il doit également faire preuve de confiance envers sa partenaire et peut-être lui révéler des secrets qui pourraient ébranler les fondements de leur relation.

Extraits de La Soumise, volume 2 : Le Dominant de Tara Sue Me

Lisez quelques extraits sexy de La Soumise, volume 2 : Le Dominant de Tara Sue Me :

Abigaïl ouvrit la porte, pénétra dans la pièce et referma le battant derrière elle.
Un parfait imbécile, voilà ce que tu es.

Tu es cinglé de l’avoir invitée à venir ici.
Quelle bourde, tu t’en souviendras longtemps !

Elle s’immobilisa au milieu de la pièce. Je l’observais du coin de l’œil. Les bras ballants, les pieds écartés de la largeur de ses épaules.
Zut.
Zut. Zut. Zut. Zut et zut
Zut. Zut. Zut. Zut et zut.
Merde. Merde. Merde.
Zut et rezut.

J’avalai une grande goulée d’air, puis posai délicatement mes lèvres sur les siennes.
Bon sang !Impossible de contenir la joie qui enflait en moi. Notre fragile coquille humaine était inapte à contenir de telles émotions.

Le lendemain, je me réveillai à sept heures du matin. Je sortis du lit et m’étirai, en pleine forme après une bonne nuit réparatrice. Sans doute mes quatre orgasmes y étaient-ils pour quelque chose.

Couchée par terre en chien de fusil, Abigaïl dormait toujours. Elle n’avait pas émis un son dans son sommeil. Elle souriait. À quoi rêvait-elle ? Que trouvait-elle si drôle ? Elle ne s’en souviendrait probablement même pas à son réveil.