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Nous vous avons déjà présenté les Biscuitières d’Esparbec, voici La Jument. Le maître de la pornographie nous emmène dans l’histoire de Mélanie qui sera dressée par le maître d’une écurie, Hugo von P…
286 pages aux éditions La Musardine
Résumé de La Jument d’Esparbec
Rien ne prédestinait Mélanie à devenir une » jument « , c’était une femme comme tant d’autres, qui s’ennuyait et ne savait trop quoi faire de sa peau. Après avoir couché avec les maris de toutes ses amies, la jeune épouse de Me de Challonges décide, pour » se donner un peu de mouvement « , de faire de l’équitation. Un beau matin, après avoir accompagné ses enfants à l’école, elle se rend à l’écurie d’Hugo von P., le maître du manège. Mais là, notre apprentie Messaline va vite s’apercevoir qu’on dresse deux sortes de juments…. Dans l’odeur du cuir, du stupre et du crottin, un Esparbec pur et dur de la meilleure cuvée.
Extraits de La Jument d’Esparbec
Lisez quelques textes érotiques issus de La Jument d’Esparbec :
Il y en a qui ont envie de fraises, moi j’ai envie d’un mec. N’importe lequel. De préférence un que je ne connais pas. Cela n’aurait lieu qu’une fois et je ne le reverrais plus. Pourquoi n’y a-t-il pas des bordels pour les femmes ? Je me promène dans la rue avec mon gros ventre et je regarde les passants derrière mes lunettes noires. Je me dis : celui-là. Ou celui-ci. Si je le lui demandais ? Monsieur, voulez-vous qu’on aille baiser à l’hôtel ? Je ne vous demande pas d’argent. C’est juste pour tirer un coup. Bien sûr, je n’oserai jamais. Ce sont des envies de femme enceinte. Des mots en l’air. Des sortes de gaz. Alors, pour compenser, je me gave de pâtisseries chez La Duchesse, mais j’ai beau engloutir des religieuses, ça ne comble pas le vide qui m’habite. Il se situe nettement plus bas que l’estomac.
Après N., Mélanie prit pour amant un jeune avocat stagiaire. Ne le trouvant pas très imaginatif, elle eut une liaison avec le mari d’une de ses amies. Elle mena les deux affaires de front. Ce qui lui plaisait, c’était de se faire baiser par les deux le même après-midi. Puis elle eut une succession d’aventures sans lendemain avec des hommes mariés qui fréquentaient le même club de mise en forme qu’elle et Gontran.
Ses partenaires se ressemblaient tous, appartenaient au même milieu social, s’exprimaient avec les mêmes clichés, et la baisaient de la même façon stéréotypée empruntée aux cassettes vidéo. Ils ne lui faisaient d’effet que la première fois, quand ils la déculottaient et qu’elle écartait les cuisses pour leur montrer son sexe.