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Paru en 2006, Esparbec nous narre dans le goût du péché les aventures sexuelles d’une mère et de sa fille Nellie en vacances dans un hôtel sur les plages Normandes… Les deux femmes se laissent aller à toutes leurs envies !
Aux éditions France Loisirs
Résumé de Le goût du péché d’Esparbec
Dans Le Goût du péché, Esparbec nous décrit avec sa verve habituelle les turpitudes auxquelles se livrent (chacune de son côté) une mère et sa fille, pour tuer l’ennui d’une fin de saison estivale dans un hôtel de la côte normande. De ces deux vacancières lubriques, il serait difficile de dire qui mérite l’Oscar de la concupiscence ! Des grooms en rut aux servantes lubriques, du maître d’hôtel patelin au vieil amateur de fruits verts, du cynique don Juan de Riviera porté sur la fessée au notaire libidineux qui aime bien » partager » ses conquêtes avec ses amis, devant un feu de bois, tout le monde y passe, tantôt avec l’une, tantôt avec l’autre, et personne ne s’en plaint… surtout pas les lecteurs !
Extraits de Le goût du péché d’Esparbec
Voici quelques extraits sexy du Goût du péché d’Esparbec :
Je me souviens… Après la baignade, en fin de matinée… Pendant que sa mère et la mienne prenaient l’apéritif au bar, Birdie et moi on montait dans ma chambre ou dans la sienne, pour nous changer. On s’enfermait dans la salle de bain et on retirait nos maillots. Je lui savonnais son abricot sur le bidet, et après, elle me lavait le mien, elle retirait tout le sable que j’avais dedans, en farfouillant avec son doigt. Puis on se tripotait sur le lit jusqu’à ce que sonne l’heure du repas. On était si fatiguées, après nos séances, que maman, quand nous quittions la table, ne manquait pas de faire mille réflexions désagréables avant d’exiger que je monte faire ma sieste.
« L’air de l’océan ne te réussit pas, ma pauvre Nellie ! Regardez-moi cette mine de papier mâché ! Tu as tout de la Dame aux camélias avec tes yeux battus ! C’est à se demander ce que tu peux bien fabriquer ! Tu vas me faire le plaisir d’aller te reposer deux bonnes heures sur ton lit avant de retourner te baigner ! Tu m’entends ? Je ne veux pas te voir sur la plage avant cinq heures ! »
Je suis sûre que maman fait pareil avec ses zigotos, c’est pour ça qu’elle retire ses boucles d’oreille en arrivant aux cabines ; je l’ai imaginée en train de tirer sa robe sous ses fesses pour ne pas faire entrer de sable dans son zinzin…
Il devait être très tard quand elle est rentrée ; c’est le bruit de l’ascenseur qui m’a réveillée. Elle est entrée chez moi sur la pointe des pieds et s’est penchée sur mon lit. J’ai gardé les yeux fermés. Quand elle m’a embrassée, j’ai senti l’odeur du tabac dans ses cheveux. Après avoir remonté mon drap, elle est passée dans sa chambre. Avant qu’elle referme la porte de communication, j’ai entrouvert les paupières et j’ai vu qu’elle balançait quelque chose sur son lit.
Attention : l’illustration de l’article n’est pas celle de l’ouvrage vendu sur Amazon.