Calendar Girl : Octobre d’Audrey Carlan

Calendar Gril : Octobre

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Le dixième tome de Calendar Girl est enfin là ! Après un mois de septembre mouvementé, Mia travaille à présent pour l’émission de télévision du Dr Hoffman. Celui-ci lui offre une chronique sur le thème « Vivre en beauté ». Elle va devoir trouver de belles âmes et non de belles personnes siliconées qui sont légion à Malibu. Cette tâche ardue va la mener à l’amour…
160 pages aux éditions Hugo roman

Résumé de Calendar Girl : Octobre d’Audrey Carlan

Mia revient à Malibu, la ville où elle a choisi de vivre. Sa dette est payée et son ex n’est plus une menace. Elle n’a plus besoin d’être escort. Maintenant, elle veut faire quelque chose pour elle, quelque chose qui lui plaise. Son job ? Bosser pour le docteur Hoffman, célèbre médecin gourou de la télé. Ce type est connu pour être rusé, beau et pour avoir une vie saine. Dans cette ville où tout est faux, où la plupart des filles sont des poupées Barbie siliconées, Mia va devoir trouver de vraies beautés, la beauté. En réalité, elle trouvera bien plus, pour elle et pour l’homme qu’elle aime.

Extraits de Calendar Girl : Octobre d’Audrey Carlan

Découvrez quelques extraits de Calendar Girl : Octobre d’Audrey Carlan :

Wes.

Mes larmes coulent déjà, il pose une main sur ma joue.

-Je t’ai manqué ? demande-t-il en souriant.

J’en perds la tête. Aussi rapide qu’un Ninja, je pousse sur le dos et m’installe au-dessus de lui. Une partie très impressionnante de son corps semble ravie de me dire bonjour, mais je m’en occuperai plus tard. Je dépose des baisers sur chaque centimètre de son visage, son front, ses joues, son menton et sa barbe qui me chatouille. Je prends néanmoins soin d’éviter son cou recouvert d’un pansement.

Mon dieu, je n’arrive pas à croire qu’il est là en chair et en os.

Je pose enfin mes lèvres sur les siennes, et il ouvre la bouche. Sa langue est chaude, mouillée, et je réalise combien elle m’a manqué pendant deux mois. Je prends son visage dans mes mains et nos langues commencent leur danse. Ses mains caressent mon dos et il avance une cuisse entre mon entrejambe, m’apaisant autant qu’il m’excite.

Un silence pesant m’accueille lorsque je passe la porte de la maison de Wes. Ma maison. Je ne sais pas à quoi je m’attendais. J’espérais sans doute que, pour une fois, la vie se montrerait clémente avec moi, qu’elle me rendrait mon homme et que celui-ci m’attendrait dans notre nid douillet. Car c’est bien notre nid, Wes a insisté pour que je change ma façon de voir « le manoir de Malibu », comme dit Gin. Le seul choix qu’il m’a laissé est que nous trouvions une nouvelle maison ensemble. Or je n’en ai pas envie, je préfère vivre dans un endroit qui lui ressemble. Wes a travaillé dur pour obtenir tout ce qu’il a. Il a beau être jeune, il n’est ni vantard ni avare et la décoration modeste de sa maison en dit long sur sa personne.