Beautiful Stranger de Christina Lauren

Beautiful Stranger de Christina Lauren

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Troisième tome de la saga Beautiful, les deux auteurs qui écrivent des romans érotiques sous le nom de Christina Lauren sont de retour ! Dans le troisième tome de cette saga, Sara Dillon change de vie en quittant son petit ami infidèle et en s’installant à New York. Elle y rencontre un bel étranger britannique, Max, homme à femmes qui, avant sa rencontre avec Sara, n’avait pas l’intention de se mettre en couple…
352 aux éditions Pocket

Résumé de Beautiful Stranger de Christina Lauren

En rompant avec un petit ami infidèle et en filant s’installer à New York, Sara Dillon a décidé de reprendre sa vie en main. Nouveau travail et nouvelle philosophie : les hommes, c’est fini ! Mais, à peine arrivée, elle tombe sur un superbe spécimen masculin d’origine britannique, Max Stella, connu pour être un véritable tombeur. Aucune femme n’a encore su le retenir. Jusqu’à ce qu’il rencontre Sara, et qu’elle l’autorise à prendre des photos coquines, il n’avait jamais envisagé de construire un couple. Tandis que Sara résiste, Max redouble d’inventivité pour devenir son beautiful stranger…  » Encore plus torride, encore plus sensuel…  » Biba

Extraits de Beautiful Stranger de Christina Lauren

Découvrez quelques passages sexy de Beautiful Stranger de Christina Lauren :

Quel genre de femme proteste pour un dîner? Le genre de femme, Sara, qui reconnait qu’un dîner mène à une nuit entière chez l’autre, qui mène à dormir ensemble tous les soirs. Et puis, à l’échange de clés et à l’emménagement dans un seul appartement. Ensuite viennent les excuses, le sexe de routine, puis plus de sexe du tout et plus de conversations. Seul reste l’espoir d’être invité en couple à un événement public pour passer du temps ensemble.

– Tu rigoles? Tu parles à la fille qui a baisé avec son patron dans la cage d’escalier du dix-huitième étage.
J’éclate de rire. Je bois encore un peu d’eau pour calmer ma toux.
– Putain, Chloé. Je ne connaissais pas ce détail. Je me représente la scène. « Mon Dieu, heureusement que je n’utilise jamais les escaliers. Dégueulasse. C’aurait été super gênant.